« Le vieil épouvantail se sent si seul, qu’il pleure. Le vieil épouvantail se sent inutile, qu’il pense ne plus avoir d’amis. Personne qui pourrait l’aider à se promener, juste de l’autre côté de la colline, lui qui n’a jamais bougé de son champ…. Mais au matin d’un jour de printemps, deux cent mille oiseaux l’emmènent…