Le livre « Le jour où j’ai perdu mes super pouvoirs » m’a fait penser à une citation d’Albert Einstein :
« Il y a deux façons de voir la vie, l’une comme si rien n’était un miracle, l’autre comme si tout était miraculeux. »
Les enfants ont cette capacité de croire en la magie et aux super pouvoirs. D’ailleurs, et si c’était vrai ? Et s’ils avaient raison ?
La petite fille de l’histoire ne découvre-t-elle pas qu’elle sait voler ? faire disparaitre des objets ? qu’elle peut aussi se rendre invisible ?
Oui ! Son imagination l’aide bien, il faut dire !
Cependant, un jour, alors qu’elle s’exerçait à planer (grâce à son fidèle chien qui la maintenait en l’air à l’aide d’une corde), elle tomba, se blessant au genou…
À ce moment là, elle prit conscience que sa maman aussi avait des super pouvoirs. Un bisou et hop, la douleur s’est envolée !
Ce livre tendre et amusant nous plonge dans l’imaginaire des enfants qui interprète leur vécu avec une touche de magie. On y trouve notamment les clés de la joie et de la confiance en soi. Cette vision révèle en effet leurs super-pouvoirs dont le plus précieux est l’amour qui guérit. Et celui-ci, tout le monde le possède vraiment. 🙂
« Le jour où j’ai perdu mes super-pouvoirs » de Michaël Escoffier et Kris Di Giacomo est disponible sur :